Le soleil entre dans la pièce,
où impuissante, je déambule,
ou reste attachée de force!…..
Il m’appelle,
me crie de me souvenir de lui,
combien je l’ai aimé,
je voudrais aller vers lui,
mais là encore,
personne ne m’amènera,
pour qu’il réchauffe mes vieux os,
pour que sa chaleur pénètre en moi,
me donnant encore une chance
de survie supplémentaire…
et que dans ma mémoire,
les bons moments passés en sa compagnie
me reviennent par vagues.
N’est il pas le seul qui m’a accompagné
tous les jours,
sans lui la vie n’aurait pas été possible.
Il a été le seul compagnon,
qui m’ait chaque jour,
apporté le réconfort de sa chaleur,
me laissant parfois brûlée
de l’avoir tant aimé.
Dieu nous l’a prêté ,
et si un jour il nous le reprenait ?